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26 septembre 2016 1 26 /09 /septembre /2016 11:55

DPSP….

Fermeture des jardins….

 

AAS et AASP : Sous-effectif chronique…

Agents d’accueil et de surveillance : à chacun ses problèmes !

Les problèmes créés par votre direction ne sont pas les vôtres !

 

- Vos obligations professionnelles sont : d’arriver à l’heure, d’assumer vos missions et de partir à l’heure. (POINT).

- Vous avez les moyens de fermer vos jardins en temps et en heure : vous fermez.

- On ne vous donne pas les moyens de fermer vos leurs jardins en temps et en heure : ce n’est pas votre problème !

 

Quand c’est votre heure de fin de service : à la minute près, vous n’êtes plus en service, alors que l’administration assure les éventuelles conséquences de son imprévoyance.

Avant de quitter votre service, parce que vous êtes des agents responsables : vous informez le CVO (01 42 76 73 73) ou toute autre personne de la « hiérarchie » que, par manque de personnel, tel ou tel jardin n’ont pas pu être fermé. (POINT).

 

Ensuite, vos obligations professionnelles remplies : vivez votre vie!

Rentrez chez vous voir votre compagne, votre copine, votre copain, votre chat, votre chien ou votre poisson rouge, bref qui vous voulez et que l’administration gère ses problèmes….. !

 

Bien évidemment s’il vous embête avec leurs problèmes : Téléphonez nous !

 

Paname le 22 septembre 2016

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26 septembre 2016 1 26 /09 /septembre /2016 11:44

 

ISVP de la BIP : En rangs par quatre, Gaaaaaarde à vous, fixe !

 

Il y a quelques jours à Morland, ensuite place Baudoyer, devant la caserne Napoléon, là où siège l’État-Major (sic !) de la DPSP, des brigades de la BIP ont été alignées en rangs par quatre sur ordre express de la hiérarchie : Gaaaaaarde à vous, fixe ! Il ne manquait plus que la levée des couleurs et un roulement de tambour !

 

Heureusement, que le ridicule ne tue pas !

 

Question :

Le P de la BIP signifierait-il Paramilitaire ?

 

Cette manière de traiter les fonctionnaires territoriaux est inadmissible ! De nombreux agents nouvellement recrutés pour la BIP sont choqués d’être traités comme des « bidasses » !

 

Afin que la municipalité ne soit pas brocardée par de facétieux petits « canards déchainés » qui pourraient être tenté de décerner des étoiles de Générale en chef à Madame la Maire de Paris, il est urgent de dégrossir quelques têtes qui manifestement ne sont pas sur la bonne planète !

 

Paname le 23 septembre 2016

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18 juin 2016 6 18 /06 /juin /2016 20:43

« Tardivement parfois, mais fatalement, on récolte toujours ce que l'on a semé et les mauvaises semences ne produisent jamais du bon blé. »

 

Soyons plus explicite :

 

1° - Un peu d’histoire :

 

À la satisfaction manifeste du public, de la mairie de l'arrondissement et de la DEVE, pendant de nombreuses années, les personnels de la surveillance des espaces verts du 16ème pouvaient travailler en confiance et parfaite cohérence avec leur hiérarchie locale : les cadres B et cadres A.

 

Ils avaient à leur tête un ingénieur expérimenté et, c'est au départ à la retraite de cet ingénieur que la situation commença à se dégrader.

 

Ce départ coïncida avec la restructuration de la DEVE : le remplacement des circonscriptions par les divisions, très souvent de nouveaux ingénieurs et, pour la première fois, des attachés d'administration (deux cultures différentes)! Quelques années plus tard, notamment dans le 16ème, doublement des postes de TTPS… .

De différentes brigades du 16ème fusaient les commentaires : " Bientôt il y aura plus de chefs que d'agents! À quoi ça sert tous ces chefs ? " Les commentaires entendus étaient souvent plus caustiques ! Le flottement s'installa et, c'est bien connu, quand la main est moins assurée le pouvoir se dilue. Alors, la nature ayant horreur du vide :

 

                                 Les grenouilles.... commencèrent à grenouiller.

 

A la même période, au SEJ, il y eu une sorte "d'inter-règne" entre l'ancien et le nouveau SEJ. Quelques nominations au choix de C en B furent acquises sur la base de critères dont le premier n'était manifestement pas le professionnalisme. Est-il nécessaire d’être plus précis ?

 

2° - Premières conséquences :

 

Dans toutes les brigades : des agents de plus en plus désorientés, un effondrement de la crédibilité administrative, des encadrants de proximité expérimentés qui préférent changer de Division dès que l’occasion se présente…

.

                                               Irresponsabilité… Petit exemple :

 

Il y a quelques semaines, de Jefferson, jardin situé à quelques dix minutes du bureau du site du Trocadéro où se trouvait des responsables, des agents signalent à la dite hiérarchie qu’ils étaient en difficulté avec une famille qui les agressait (insultes et jet d’un sac poubelle sur une agente…). La hiérarchie s’empressa-t-elle de voler au secours des agents en grande difficultés ? Non ! Courageusement, la hiérarchie s’engouffra dans la bouche du métro et laissa les agents se débrouiller seuls !

 

                                             Impunité… Un « charmant collègue » :

 

→ En avril 2011, trois mois avant son départ à la retraite, une collègue fût traité de «connasse », d’autres collègues femmes furent, tour à tour, traitées de « putain » et de « putain de luxe ». Que croyez-vous qu’il advint ? Rien ! Notre collègue partie en retraite avec, comme cadeau, cette insulte sur le cœur. Devant l’inertie coupable de l’administration, le temps tourna à l’orage et l’insulteur dû comprendre que les femmes avaient des maris, des frères, des fils, des amis… ! Bref, prudent « le poète » changeât de registre.

 

→ Quelque temps après, à ses heures perdues, il se fît vendeur de sandwichs, crêpes et autres douceurs dans le commerce du concessionnaire du jardin dans lequel il travaillait comme agent d’accueil et de Surveillance… Étonnant mélange des genres ! Il fût surpris et pris par sa hiérarchie. Conséquences administratives ? Rien ! Impunité totale ! Et, sur d’autres comportements, les signalements sur les registres hygiène et sécurité ? Rien ! Et les protestations de collègues de la brigade sur des aménagements de plannings ? Rien !

 

                                 Petits arrangements…Indécente décision :

 

C'est un courriel de la division du 16ème en date du 31 Mai dernier qui, comme une grosse goutte d'eau malodorante a fait déborder la coupe de la colère.

Cet insulteur de femmes, grâce à des complicités locales est nommé faisant fonctions ! Devenir le chef des femmes qu’il a insulté et des hommes, ses collègues en grade qui n’ont pour lui que des sentiments peu flatteurs ? C’est la provocation de trop !

 

Bas les masques ! Tous les agents de la brigade savent – et disent – que ce n’est pas l’amour du travail et du service public qui a poussé cet agent à quémander un poste de faisant fonctions. Non, connaissant bien leur collègue, ils savent que cette demande de changement de fonction n’a qu’un but : bénéficier d’un titre – même illusoire – pour tenter de se faire nommer au grade supérieur l’année prochaine et passer devant des collègues plus anciens et plus soucieux du service.

 

                                 Un dernier point et qui ne manque pas de saveur :
                  Les effets thérapeutiques d’une nomination de faisant fonction !


Ce délicat poète, cet ami des femmes, ce cher et si agréable collègue, depuis de nombreuses années bénéficie d’un aménagement de poste, ce qui le dispense de faire les ouvertures et les fermetures des jardins. Mais qu’à cela ne tienne ! Bravant les douleurs physiques, en courageux petit soldat tout dévoué au service public, notre héros local ne veut plus de son aménagement médical. Quelle abnégation !


Tant de dévouement mériterait la médaille du mérite municipal, remise bien évidement devant une brigade de femmes dûment approvisionnées en tomates et oeufs pourris.

 

Voilà comment les petits arrangements, les réseaux malsains, le syndicalisme de caniveaux et le manque de courage administratif détruisent des équipes et démotivent les bonnes volontés. Voilà le processus de destruction fonctionnelle d'une brigade de la surveillance et aussi, à terme, du service public.

 

                                                                                                            Paname le 16 juin 2016

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23 mai 2016 1 23 /05 /mai /2016 11:32

 

Agression d’un agent de la surveillance par des policiers

Dans le 18ème arrondissement de Paris.

 

Ce jeudi 19 mai, vers 15 heure 30, dans le jardin Louise Michel, trois de nos collègues venaient d’intervenir contre des « vendeurs à la sauvette » qui, comme ils en ont l’habitude, essayaient de truander des touristes. L’affaire ayant été réglée discrètement et efficacement une fois encore par les AAS, trois policiers de passage (des vététistes), ont interpelé les AAS sur leur façon de travailler :

 

Mais de quoi se mêlent-ils ?

 

Inacceptable ! Ce n’est pas la première fois que les AAS de ce secteur subissent ce type de comportement de la part d’individus qu’il est urgent que la préfecture recadre.

 

L’agent de la surveillance (monsieur N) et sa collègue (madame F) ont répondu que quelques minutes auparavant ils étaient intervenues pour protéger un touriste anglais au prise avec des vendeurs à la sauvette. En cela les AAS ont été correct car rien ne les obligeaient à dire ce qu’ils faisaient à des individus qui ne sont pas de la Ville. Et nous n’étions pas là dans le cadre d’une enquête de police…alors, une fois encore :

 

De quoi se mêlent-ils?

 

Faut-il le redire ? Aucun policier n’est la hiérarchie des fonctionnaires municipaux. Il serait judicieux que le préfet de police fasse, en interne, les mises au point nécessaires ou c’est nous qui le feront avec une campagne de tracts et de presse au vitriol (tracts sous contrôle de nos juristes bien évidemment !!!).

 

Le collègue ainsi interpelé (monsieur N), lassé des remarques désobligeantes et qui plus est sans fondement de ces policiers a préféré s’éloigner ; agrippé par la manche, il a voulu se dégager, a été plaqué au sol et menotté avant même que de comprendre ce qui lui arrivait et surtout pourquoi ! Sa collègue (madame F) a essayé de calmer les choses tout en veillant à de ne pas laisser la colère la dominer tant ce qu’elle voyait et entendait la révoltait. Céder à la provocation en aurait fait non pas une victime mais une coupable et c’était manifestement le but recherché ! Pour les collègues présents, de près ou de plus loin et qui ont assisté à l’agression, ils ont bien sentit que cela avait été concerté, prémédité par le trio de vététistes. Madame F a failli, elle aussi, être menottée et embarquée !

 

SCANDALEUX ! Devant les vendeurs à la sauvette et autres individus de la même espèce et que les AAS doivent sans cesse surveiller et rappeler à l’ordre et qui souriaient de plaisir, notre collègue, menotté fût emmené jusque dans une voiture de police comme un vulgaire voyou !

 

Immédiatement, toute la hiérarchie de la DEVE c’est mobilisée pour venir en aide à un collègue qui venait d’être traité d’une manière indigne, révoltante, inacceptable ! Et que personne ne prétende nous faire prendre des vessies pour des lanternes ! Nous connaissons bien nos camarades, nous savons leur professionnalisme, leur courtoisie, leur calme, alors qu’aucune « autorité » ne prétende faire passer notre collègue pour un excité, un rebelle, de la graine de voyou qu’il a fallu jeter à terre, le blessant au front (7 jours d’arrêt de travail), le menotter comme une crapule, l’emmener au commissariat de police pour le mettre en garde à vue !

Le SUPAP-FSU remercie la directrice de la DEVE et ses collaborateurs pour leur implication rapide et efficace en faveur de l’AAS : monsieur N.

Les collègues, fonctionnaires municipaux travaillant sur la butte Montmartre ont été scandalisés ; leur première réaction ne s’est pas fait attendre : dès le lendemain vendredi, totalement perturbés, ne sachant plus si localement les policiers du secteur étaient « amis ou ennemis » les AAS ont refusé de faire la fermeture du parc et aucun agent de la surveillance n’a travaillé ces samedi et dimanche 21 et 22 Mai dans le parc Louise Michel. Si en plus de devoir sans cesse intervenir contre les fauteurs de troubles il faut se protéger de certains policiers, cela n’est plus gérable.

Nous avons en notre possession la copie d’un évènement grave fait par la surveillance de la Butte Montmartre dénonçant déjà – en mars 2016 – un comportement de petits chefs de la part de policiers du secteur. Les agents de la surveillance de Louise Michel ont constaté, de la part de plusieurs policiers, un changement d’attitude à leur égard depuis janvier/février de cette année : ils n’en connaissent pas la raison et le supporte assez mal. Et surtout n’ont pas à le supporter !

Dans les autres arrondissements de Paris, la collaboration entre les agents de la surveillance et les policiers locaux a toujours été courtoise, positive et complémentaire et il est essentiel que cela puisse continuer ou alors, c’est la police et la Ville qui seront perdants : pas les agents. S’imaginer le contraire serait stupide.

 

Ce qui est certain c’est qu’il est urgent de rétablir un climat de confiance et de bonne entente dans l’intérêt du public et des personnels des deux administrations concernées (Ville et préfecture) travaillant sur la Butte Montmartre. Cela ne sera pas facile, mais il faut essayer ou alors…..camarades de la surveillance : regardez à droite si le problème est à gauche et vice versa !!

 

Il nous semble nécessaire que ce grave incident fasse l’objet d’une discussion approfondie en CT ou CHSCT et cela sans esprit polémique. Cette discussion doit avoir lieu afin que les deux agents concernés par ce qu’il faut bien appeler une agression puissent être écoutés, entendus et que psychologiquement ils puissent rapidement évacuer cette affaire et travailler sereinement.

 

Paname le 23 Mai 2016

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16 mars 2016 3 16 /03 /mars /2016 08:10

Regroupement des AAS du SEJ à la DPP,

La première phase des négociations est terminée.

Bilan :

 

  • Maintien des deux cycles de travail pour les AAS en poste : le 5 / 2 et le 4 / 3.
  • Maintien des 11 RC pour les agents actuels restant AAS.
  • Maintien des dates de la période estivale pour les 2 Week-ends sur 3 soit : du 15 mai au 15 septembre.
  • Maintien de la prime « fête des jardins » pour les AAS et AASP y participant.
  • Alignement du niveau indemnitaire (IAT2) des AAS rejoignant la future direction sur le niveau moyen des AAS de la DPP environs et selon les situations individuelles une cinquantaine d’euros en plus par mois.
  • Intégration de près de 140 AAS et AASP dans le corps des ISVP.
  • Alignement du niveau indemnitaire des TTPS, TSAM de la DPP, et des TSAM de la DEVE rejoignant la future direction sur celui des TTPS, TSEP de la DPP la contrepartie en sera des horaires de travail précis et variables.
  • Les AAS ne seront plus responsables de la sécurité des jeux.
  • Les AAS n’auront plus à s’occuper de l’état ni de l’ouverture des WC publics.
  • Les AAS bénéficieront des deux heures de sport de maintien de la forme physique que le SUPAP-FSU avait obtenu de la DPP à l’époque où Monsieur Thierry LELAY en était le Directeur et monsieur Michel GIRAUDET Adjoint au Directeur.
  • Les AAS ne procéderont plus aux ouvertures des parcs et jardins le week-end et les jours fériés.
  • ETC… .

 

Le SUPAP-FSU a travaillé à : conserver, améliorer l’essentiel

et nous avons également consolidé ce qui devait l’être (les 11 RC).

 

Maintenant il reste à bien réussir l’intégration de tous et de chacun dans cette future direction chargée de la lutte contre les incivilités.

 

Pour cela de nombreux chantiers doivent être ouverts :

 

  • L’intégration de tous les ex-personnels de la DEVE dans le logiciel de comptage du temps de travail Chronogestor et son paramétrage sans interprétation subjective.
  • Le principe de substitution doit être respecté ; l’acquisition est un artifice comptable sans aucun fondement juridique et que nous combattrons énergiquement.
  • Le respect de l’intégralité des fonctions des encadrants de la surveillance (fonctions d’encadrement et de gestion administrative).
  • À terme, une répartition équitable de la charge de travail et des salaires sera essentielle pour la pérennisation de la direction. Le tout devra s’inscrire dans une économie générale afin que des parts grandissantes du budget consacré aux différentes problématiques de l’accueil et de la sécurité ne servent pas à financer des entreprises privées.
  • Il faudra trouver de bons compromis entre la nécessaire adaptation des missions aux évolutions de la société et une carrière motivante pour les personnels.
  • Savoir anticiper l’impact des technologies nouvelles sur l’évolution des métiers dont certaines conséquences seront l’affirmation de la responsabilité individuelle et l’écrasement, partiel mais inéluctable, de certaines hiérarchies ?....Etc….. Etc ! Le monde change, et change vite, ne soyons ni conservateur et encore moins réactionnaire, accompagnons le changement ou la modernité nous laissera sur le côté du chemin.

 

Ce regroupement n’est pas une fin mais un commencement. C’est maintenant que les choses sérieuses et porteuses d’espoirs vont se dessiner.

 

Conclusion :

 

  • Cette première phase de négociations n’a révélé aucun piège particulier, l’engagement pris dès le début par le secrétariat général de ne pas remettre en cause les avantages acquis des personnels en poste a été respecté. Dont acte.
  • Dès le début des négociations, des « syndicalistes manipulateurs », bonimenteurs de foire ont tenté de vous inquiéter pour essayer de se donner un rôle et une importance qu’ils n’ont jamais eus ; vous n’êtes pas tombés dans leur piège et vous avez bien fait !
  • Comme à son habitude les militants du SUPAP-FSU continueront de poser les vrais problèmes et tenteront d’y apporter les solutions les plus adéquates ; nous vous informerons toujours le plus justement et le plus objectivement possible.

 

Paname le 15 mars 2016

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29 février 2016 1 29 /02 /février /2016 15:08

Intègration dans le corps des ISVP :

De sérieux doutes sur la méthode : clarifions la problématique.

 

Le test Cooper :

La direction dit à qui veut l’entendre, que pour devenir ISVP les candidats devrons satisfaire aux exigences du test Cooper !

Pourquoi ce test d’endurance à la course à pieds (quelques 2500 mètres en 12 minutes avec de légères variantes selon l’âge et le sexe).

Pourquoi ? pour courir après des délinquants ? A chacun son métier et il ne faut pas prendre des agents de la Ville pour des agents de la BAC (brigade anti criminalité).

 

D’autre part, la DPP introduit un critère extrèmement dangereux pour les ISVP, en effet, s’il est nécessaire de courir « vite et longtemps » pour assumer les fonctions d’ISVP, la Ville va devoir s’assurer, très régulièrement, que chaque ISVP (jeune et moins jeune) est capable de courir « vite et longtemps » (muscles 1664 : danger). Quel changement de corps professionnel sera proposé aux ISVP qui ne pourront plus satisfaire aux conditions du test Cooper ? Dur ! Dur !

 

Petite précision, le test Cooper n’est pas fiable et même potentiellement dangereux.

 

Lors des réunions d’informations il est déclaré à qui veut l’entendre que l’âge du candidat ne sera pas un problème : FAUX ! Nous avons encore en mémoire le cas d’un agent de la DPP en parfaite forme physique, à l’autorité naturelle indiscutable et qui, bien qu’ayant passé avec succès toutes les épreuves …., n’a pas été retenu comme ISVP. Après avoir demandé des explications à la direction, officieusement il nous fût répondu : c’est l’âge (cet agent à 50 ans) ! Petite confidence, il pourrait courir après bien des sportifs …parfois bedonnant et les dépasser allègrement ! Alors que l’on cesse de raconter n’importe quoi : la DPP veut rajeunir la moyenne d’âge dans le corps des ISVP (actuellement 48 ans). L’âge sera donc un critère officieux certes, mais un critère d’élimination bien réel ! Disons le franchement, a quoi servent les oraux dans bien des cas : à récupérer ou à éliminer des candidats ! Des cris d’orfraie ? Et alors ! Toutes vérités ne sont pas bonnes à dire ? Pour le SUPAP-FSU SI !

 

Qui sélectionnera les dossiers d’inscription pour devenir ISVP

Qui et selon quels critères :

 

Quand les demandes d’inscriptions des AAS pour devenir ISVP arriveront (arrivent déjà ! ) à la DPP, seront-ils tous retenus ? Si non, qui les sélectionnera et selon quels critères ? l’âge ? le copinage ? L’étiquette syndicale ? L’absence d’étiquette ? Il faut bien l’admettre l’indice de confiance des personnels de terrain en la DPP est en chute libre !

 

Dépôt des dossiers d’inscription pour devenir ISVP :

Quand ? Nous découvrons que les premiers tests sont prévus pour… Juin 2016 ! Les personnels de la surveillance de la DEVE n’ont pas été informé qu’ils peuvent d’ores et déjà faire acte de candidature ou devront-ils se contenter des restes, si restes il y a ?

 

Composition du jury :

Si le jury est constitué, pour l’essentiel d’agents de la DPP, la « sélection » sera forcément ….sélective ! Comment ? Cela choque ? Pas autant que le sont de nombreux agents de la DPP qui, pour certains d’entre-eux, ne veulent même plus concourir dans le cadre de leur direction pour devenir AASP ou TTPS ! C’est joué d’avance disent-ils ! A tort ou à raison, peut importe, ce qui est certain c’est que le ressenti est là, très négatif et bien réel !

Paname le 26 février 2016.

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25 janvier 2016 1 25 /01 /janvier /2016 16:09

Cher Fabien.

 

Tu m'as si souvent fais rire, rire aux éclats, de ces éclats de rires qui jaillissaient entre nous du fais de cette bonne et franche amitié que jamais rien n'altéra, aujourd'hui, détestable dimanche de janvier, seul chez moi, j'ai du chagrin et de la colère.

Je suis colère du chagrin que tu me fais ! C'est égoïste de ma part je le sais et alors! Tu te barre vers la lumière et ton vieux pote il reste dans ce merdier, de plus en plus seul, pas tout à fait heureusement mais quand même!

Alors comprends que je sois en colère et puis la colère, dans ces circonstances, je peux bien te l'avouer, c'est aussi un moyen de ne pas trop pleurer.

Même pas 61 ans ! La grande faucheuse, l'incompréhensible, elle aurait pu attendre quelques années encore que tu puisses enfin profiter de ta retraite surtout que tu as toujours travaillé depuis l'âge de 14 ans.

Et puis toutes ces misères ambulantes qui avaient la chance de croiser ton chemin, que vont-elles devenir ? Saint Fabien s'en est allé ! J'ironise un peu, un peu seulement car tu ne savais pas dire non à une âme en peine. Tu négligeais ta propre vie car tu étais plus sensible aux malheurs d'autrui qu'a tes propres misères ; en cela tu étais mon frère.

Je me souviens de nos longues discussions sur l'au-delà ; tu étais plutôt agnostique mais si tu avais franchi le pas nul doute que sous d'autres horizons tu aurais pu être, tantôt un moine soldat combattant l'injustice et, le plus souvent, un moine de l'ordre compatissant des petits frères des pauvres.

Tu as été un syndicaliste sincère, mon ami, et c'est une forme de sacerdoce qui dépasse et de loin toutes formes de bigoteries. Ne soit plus en colère, vas en paix.

 

Jean Pierre VIGIER.

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25 janvier 2016 1 25 /01 /janvier /2016 12:31

FABIEN TOUEMENT 

10/07/1955 - 24/01/2016

 

Fabien  vogue vers d’autres horizons, on l’aimait toutes et tous.

Fabien avant tout était un humaniste et un grand syndicaliste d’une honnêteté à toute épreuve !!

Fabien  était de tous les combats, il n’a jamais ménagé sa peine et son énergie alors même qu’il se savait très malade !!!

Fabien est parti ce dimanche 24 janvier très discrètement,  apaisé et sans souffrances

Qu’il repose en paix !!!

 

Bon voyage et bonne route à notre petit breton !!!

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16 décembre 2015 3 16 /12 /décembre /2015 11:45

Joyeux noël !!!

Pour 144 AAS de la DPP 

Des chèques de 2000 à 11 000 euros par agent !

Après 7 ans de procédure le SUPAP-FSU a gagné !

 

Des chèques ont commencé à être encaissé par des agents qui, après 7 ans de procédure, finissaient à ne plus y croire ! Et pourtant !! Les deux premiers chèques reçus par des agents de catégorie C étaient de 11 472 euros chacun. D’autres chèques, de valeurs variables, arrivent ou vont arriver !

 

Joyeux Noël pour nos 144 collègues !

Sans prétention mais avec un peu d’humour, disons-le sans détour,

Ce Père-Noël a un nom : le SUPAP-FSU !

 

Petit rappel des faits :

 

1er semestre 2009 : La DPP ne payait pas aux personnels de la surveillance des primes auxquelles ils avaient droit. Après des discutions orageuses et une grève qui fut suivie a plus de 90% par les personnels de la surveillance des mairies et bâtiments, la Ville reconnaissant enfin que la revendication du SUPAP-FSU était fondé acceptât de payer, à tous les personnels de la surveillance de la DPP (AAS, AASP, TTP, Mairies, bâtiments et CDN)  la prime dominicale ainsi que la prime mensuelle de sujétion spéciale.

 

2ème semestre 2009 : Nous avons instruit 144 dossiers individuels pour demander, sur quatre ans et conformément au droit, le paiement rétroactif de ces primes. Au terme d’un véritable parcours du combattant, la cour administrative d’appel a donné raison au SUPAP-FSU. Depuis le mois d’octobre, le tribunal administratif de Paris, dans le cadre de la décision de la cour d’appel administrative, condamne la Ville de Paris à verser aux 144 personnels de la surveillance de la DPP et au titre de la rétroactivité, des indemnités de 2 000 à 11 000 euros.

 

Les relevés d’identité bancaire (RIB) commencent à être demandés par l’administration pour le versement des sommes dues à chacun des 144 agents. (Joyeux Noël) 

 

Des agents de la DPP, syndicalement mal conseillés, n’ont pas fait de recours au tribunal administratif et de ce fait ils ne seront pas bénéficiaires du paiement rétroactif (de 2000 à 11 000 euros). Dommage. La sagesse populaire dit que « les conseilleurs ne sont pas les payeurs », cela est vrai et, dans le cas présent cela est bien dommage !

 

Que les personnels de la surveillance de la DPP qui n’ont pas fait, avec le SUPAP-FSU, un recours pour bénéficier du paiement rétroactif des primes se consolent (si possible) en pensant que depuis janvier 2009 et grâce à l’action du seul syndicat Supap-FSU, tous les mois, la paie de chacune et de chacun est augmenté de la prime de sujétion spéciale (de 46 à 56 euros par mois selon l’indice du fonctionnaire).

 

Joyeuses fêtes de Noël à tous.

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16 décembre 2015 3 16 /12 /décembre /2015 07:40

Regroupement de tous les AAS du SEJ de la DEVE dans une nouvelle Direction qui remplacera  la DPP

Vérités et mensonges…..Mensonges et manipulations…

 

Les agents vont perdre de l’argent? Mensonges !

 

Traitement budgétaire : pas de changement ! Évidemment ! Ce n’est pas l’affectation du fonctionnaire qui fait son indice : C’est son grade !

 

Primes : elles sont liées à l’appartenance au corps de la surveillance et aux fonctions exercées (indemnité de sujétion spéciale et prime dominicale notamment) : Affecté à la DEVE ou à la DPP un AAS reste un AAS ! Devoir enfoncer des portes ouvertes pour contrer des manipulateurs et des menteurs : c’est lassant !

 

  • Indemnité de sujétion spéciale : c’est parce que les personnels de la surveillance de la ville de Paris ont une homologie nationale avec leurs collègues du ministère de la culture (personnels de la surveillance de Versailles, d’Orsay, du Louvre….) qu’ils bénéficient de l’indemnité de sujétion spéciale. Que l’agent de la surveillance soit de la DEVE, de la direction des affaires culturelles, de la Bourse du travail, de la DPP…. quelle que soit son affectation et sa fonction, il est, de droit, bénéficiaire de l’indemnité de sujétion spéciale. Là encore les bateleurs de foires doivent cesser de dire n’importe quoi aux personnels!!

 

  • La prime dominicale : comme l’indique si justement son appellation, celle-ci est liée au travail du  dimanche ! Soyons réalistes, les jardins seraient sans accueil ni protection des biens et des personnes les week-ends parce que les agents dont c’est le métier seront gérés par une autre direction de la Ville de Paris ? Stupide! Les AAS seront toujours de service dans les espaces verts les week-ends! Et travaillant le week-end, ils continueront à bénéficier de la prime dominicale ! Déguisés en syndicalistes, des bateleurs de foires, essayent d’affoler les personnels pour tenter d’exister ! Minable !

 

Les cycles de travail : Jamais nous avons entendu l’administration, ni les responsables politiques remettre en cause la délibération fixant les cycles de travail des AAS de la DEVE (le 4 x 3 ou le 5 x 2) : jamais! Au contraire le Secrétariat Général et les politiques ont toujours affirmé que les agents ne perdraient rien. Alors, qui croire, celles et ceux qui parlent au nom de la Maire de Paris et donc engagent sa parole ou des « représentants syndicaux» que la surveillance a refusé d’élire  lors de la dernière élection il y a moins d’un an ?                                                                                       

 

Fonctions : Tous les personnels de la surveillance (catégorie C) en poste au Service d’Exploitation des Jardins seront gérés par la nouvelle direction : cela nous a été confirmé. Un certain nombre de fonctions n’auront plus à être assumées par les AAS des jardins (Les W.C., le contrôle des jeux….) l’activité des personnels de la surveillance devant être recentrée sur ses missions premières : accueillir et renseigner les usagers, veiller à leur tranquillité, protéger les biens et les personnes et, si nécessaire, user de l’autorité et des moyens résultant de leur statut d’agents assermentés. La verbalisation devant intervenir qu’en dernier recours.

Tous les TTPS du Service d’Exploitation des Jardins ne partiront pas à la nouvelle direction : combiens ? Qui ? Selon quels critères ? Rester à la DEVE, au SEJ alors qu’il n’y aura plus d’AAS ! Pour quelles fonctions ? Pour contrôler quoi ? Qui ? Le dossier est ouvert. Pour les personnels administratifs, le questionnement reste également entier.

 

Rappel des positions défendues par le SUPAP-FSU :

 

  • Création d’une spécialité « espaces verts » et maintient de tous les avantages acquis (JRTT, cycles de travail, règlement d’emploi, RC…).

     

Sur la question de l’assermentation et de la verbalisation :

 

  • dans le cadre de son assermentation la parole d’un agent assermenté a infiniment plus de poids - devant un juge par exemple - que la parole d’un simple citoyen. L’assermentation est obligatoire pour, si nécessaire, verbaliser valablement d’éventuels contrevenants. Tous les agents de la ville qui sont assermentés (AAS, ISVP,….) ont le même niveau d’assermentation (article 108). La seule différence c’est qu’ils ne sont pas forcément assermentés pour les mêmes textes (règlement des Parcs et jardins, RSD, etc).

 

Verbalisation à l’intérieur des espaces verts : des agents le font et depuis longtemps. La densité de la verbalisation dépend de plusieurs choses : La politique de la ville dans ce domaine et la sécurité des agents (verbaliser seul est un problème, verbaliser dans certains secteurs de la ville serait quasiment suicidaire).

 

Verbalisation en dehors des espaces verts : la position du SUPAP-FSU a toujours été d’une parfaite clarté :

  • Si des agents sont prêts à accepter ce genre d’évolution de leurs missions, c’est leur droit et personne ne doit s’y opposer.
  • Si des agents ne souhaitent pas ce genre d’évolution de leurs missions, c’est leur droit et personne ne doit s’y opposer surtout que le travail dans les jardins est suffisamment dense.

 

Parlons argent :

 

  • Le taux moyen des primes pour les personnels de la surveillance de la DEVE est nettement inférieur à celui des personnels de la surveillance de la DPP : le niveau des primes des agents de la DEVE doit être revu à la hausse et atteindre celui des collègues de la DPP.

 

  • Une piste de réflexion pour lancer le débat : des agents verbalisateurs de la ville (article 108) ont un régime indemnitaire qui se décline ainsi tous les mois : Echelle 4 : 15,50 % du traitement budgétaire, Echelle 5 : 24 % du traitement budgétaire ; Echelle 6 : 33 % du traitement budgétaire.  C’est un principe : A TRAVAIL ÉGAL, SALAIRE ÉGAL !

Paname le 2 décembre 2015

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